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La Femme chocolat
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Lucian Negrisor est amoureux de la femme chocolat. Passez votre chemin si vous êtes à la recherche des saveurs habituelles proposées dans une certaine littérature roumaine, où l'éveil des sens se contente d'évoquer les spécificités nationales . Quand il ne s'agit pas des privations ou pénuries de toutes sortes, la joie ou la jouissance découle de viandes et d'alcool labellisés cuisine nationale (mititei, sarmale, muraturi, dorobant, braga). La sensualité de ce bref roman, presque une longue nouvelle, réside dès le titre dans un goût plus raffiné, celui d'un produit de luxe pour l'époque (1924). Le doux-amer du chocolat dénote les ambiguïtés de la conscience du personnage principal. Toute-puissante sauvagerie de l'imaginaire enfantin (Louis-René des Forêts) ou hallucination amoureuse proche d'une certaine forme de science-fiction ? Jeune Werther maladroit, il se balance entre deux femmes, entre le gouffre et le salon de mademoiselle Eleonora, ivre de sa seule couleur, il tient le lecteur en haleine encore bien après la fin du roman.
Lucian Negrisor est amoureux de la femme chocolat. Passez votre chemin si vous êtes à la recherche des saveurs habituelles proposées dans une certaine littérature roumaine, où l'éveil des sens se contente d'évoquer les spécificités nationales . Quand il ne s'agit pas des privations ou pénuries de toutes sortes, la joie ou la jouissance découle de viandes et d'alcool labellisés cuisine nationale (mititei, sarmale, muraturi, dorobant, braga). La sensualité de ce bref roman, presque une longue nouvelle, réside dès le titre dans un goût plus raffiné, celui d'un produit de luxe pour l'époque (1924). Le doux-amer du chocolat dénote les ambiguïtés de la conscience du personnage principal. Toute-puissante sauvagerie de l'imaginaire enfantin (Louis-René des Forêts) ou hallucination amoureuse proche d'une certaine forme de science-fiction ? Jeune Werther maladroit, il se balance entre deux femmes, entre le gouffre et le salon de mademoiselle Eleonora, ivre de sa seule couleur, il tient le lecteur en haleine encore bien après la fin du roman.

















