Les jeunes filles adoraient profiter de ces instants de solitude et d'intimité pour bavarder à voix basse, échanger leurs rêves les plus secrets et leurs fantasmes. Cependant Marie-Anne, moins sage qu'à son habitude, commença par couvrir son amie de baisers, sur le front, sur les joues et...sur la bouche. Elle caressa ensuite longuement sa soyeuse chevelure dorée. Nolwenn protesta bien un peu, mais elle se calma lorsque la langue de son amie commença à se promener sur ses lèvres, générant la survenue de délicieux frissons de plaisir dans son dos et ses épaules. Sa camarade défit ensuite un à un les boutons de nacre de la chemise de Nolwenn, de façon à pouvoir glisser une main dans l'échancrure et la promener sur sa peau nue. Elle passa beaucoup de temps à explorer les contours de ses adorables petits seins pommés, avant de s'attarder sur les mamelons, qui frémirent, et durcirent. Nolwenn émit un discret gémissement. Elle ne savait pas ce qu'il convenait d' en faire pour augmenter le plaisir que semblait ressentir son amie, alors, d'instinct, elle se pencha pour en prendre un en bouche, qu'elle suçota comme s'il se fut agi d'une fraise juteuse, ou mieux, d'un délicieux bonbon au miel. Nolwenn réagit favorablement, car elle serra les dents pour laisser échapper un gémissement plus intense. Encouragée par ce signal positif, Marie-Anne abandonna le téton pour s'emparer du second, qu'elle suçota cette fois plus goulûment, pendant que sa main droite partait à la découverte du ventre de son amie, un agréable petit ventre plat gainé d'une peau douce et satinée. Elle posa alors sa bouche sur le nombril, à l'intérieur duquel, par jeu, elle fit tournoyer sa langue, générant ainsi de nouveaux gémissements de plaisir chez sa camarade. Arrête, s'il te plaît, Marie-Anne, arrête, tu me chatouilles. Après ces délicieuses années de pensionnat et un mariage catastrophique Marie-Anne va devenir une de ces somptueuses cocottes qui firent les beaux jours, et aussi les belles nuits, de la bien nommée Belle Epoque